En ces temps si maussades, l'odeur des cookies qui se répand dans la maison, est juste une petite bulle de bonheur. La deuxième vient lorsqu'on les déguste, car ils sont fondants, moelleux, légèrement sablés, et croustillants. Ce célèbre petit gâteau mythique américain a de nombreuses variantes. Nous avions adoré la version du Chef Gomez, et lorsque j'ai découvert celle de ce blog, il fallait que je teste !
"Levain Bakery" (créée en 1995) est une célèbre boulangerie à New York ayant acquis une renommée mondiale grâce à ses cookies énormes, réputés être les meilleurs de cette ville. Depuis ses débuts, elle a essaimé dans d'autres villes américaines. Les cookies de cette boulangerie pèsent 170g, un format XXL à l'image de la nourriture aux USA...
Le chef Guillaume GOMEZ est une figure emblématique de la cuisine française. Pendant 25 ans, il a séduit les hôtes de l’Elysée, a mis à l’honneur la gastronomie française en tant que Chef cuisinier du palais de l’Elysée.
Si vous voulez le suivre sur les réseaux sociaux , voici son compte Instagram.
Alors, quand ce grand Monsieur donne la recette de ses cookies, nous pouvons plonger, les yeux fermés, une main gourmande et avide de sensations gourmandes, dans le bocal.
J’ai déjà testé plusieurs recettes de cookies sur ce blog, certains cookies ne comportaient que les jaunes d’oeufs (donc, obligée de faire des meringues ou des financiers pour utiliser les blancs), d’autres du beurre de cacahuètes, ceux-ci sont enfantins à réaliser et nécessitent juste 1 oeuf entier comme cette recette !
Tout d’abord, la boutique et le blog seront fermés du 23 Juillet au 5 Août pour une pause bien méritée. Mais je ne voulais pas vous laisser sans un « devoir de vacances gourmand« ….
Comment ou même POURQUOI un moelleux au chocolat avec une meringue en plein été ? Vous allez dire qu’il fait vraiment trop chaud pour vous mettre derrière les fourneaux, que le chocolat n’est pas bon pour la ligne et qu’avec l’été vous faites attention aux calories… Mais, non, je partage avec vous cette recette faite et refaite pour le plus grand plaisir des papilles gourmandes, pour plusieurs raisons, et pas seulement parce qu’elle est devenue une de mes recettes fétiches.
D’abord, le gâteau est à préparer à l’avance, donc, réveil au petit matin, il fait encore frais dans la cuisine, hop, on s’y met…
Pour tous ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas voyager loin de chez eux, il y a d’autres moyens de se « transporter » ailleurs… Vous me connaissez, je ne prône ici, d’aucune manière, des produits ou substances illicites pour vous faire voyager.
Une des manières d’aborder un autre pays sans quitter son fauteuil passe indéniablement par la lecture (ce ne sont pas les adeptes de l’Angleterre victorienne de Jane Austen qui me contrediront, puisqu’elles sont nombreuses à venir sur ce blog, si j’ai bien lu les commentaires pour la collection Alice !) : on peut aisément se représenter des paysages, des cultures, des modes de vie sans quitter son domicile.
Une autre solution vous conduit du fauteuil à la cuisine ! En effet, le dépaysement est garanti lorsqu’on s’essaye à des plats aux origines lointaines de la France métropolitaine.
Vous allez me dire, une soupe vitaminée, chaude en plus, en juin, mais quelle mouche me pique ? Deux raisons majeures : tout d’abord le temps oscille entre chaleur, froid, soleil et pluie torrentielle, ensuite l’ingrédient principal s’achète principalement au printemps… Voilà pour ma soupe printanière.
Pour les galettes, si vous êtes une adepte d’IKEA, vous devez fatalement connaître les Kakor Chokladflarn ou les Kakor Havreflarn, vous avez même, peut-être, rêvé de pouvoir en refaire des « maisons » avec les bons ingrédients. Allez savoir, après cet article, vous deviendrez peut-être addicts à ces petites galettes suédoises saines avec ou sans chocolat !
Certes, je dois vous l’avouer, pas de beurre, pas de crème, bref pas de matière grasse, mais un ingrédient mystère pour donner moelleux et fondant. Depuis quelques temps, fleurit dans la presse culinaire et sur les blogs, l’idée de réduire l’apport de matière grasse en la remplaçant par des végétaux comme la courgette ou l’avocat. Dimanche, sur France Inter, dans l’émission « On va déguster » les blancs en neige étaient même élaborés avec du jus de pois chiche ! Réactionnaire, ou peu avant-gardiste, ce n’est pas ce style de recette que je vais vous proposer aujourd’hui, je n’ai pas encore levé mes a priori…
Lors de notre dernier déjeuner familial chez ma cousine, elle avait préparé la recette de la mousse au chocolat de papa (le mien, donc son oncle… ), une recette ultra simple avec juste du chocolat, des œufs, du sucre et basta ! Cela m’a donné envie de refaire une vieille recette de gâteau à base de mousse au chocolat. Et du coup, première recette de gâteau sans gluten : CQFD.
Difficile de résister aux gros cookies généreux et bien sablés de ma recette fétiche mais cette recette a un défaut de taille, on utilise 4 oeufs (et uniquement les jaunes, ce qui m' »oblige » à faire des financiers en même temps pour utiliser les blancs …). Il y a quelques semaines, je suis donc repartie à tester d’autres recettes de cookies.
En 1999, Danielle, ma belle-sœur d’origine italienne me donnait les secrets de son « pain de Gênes ». A l’époque, nous avions fait une halte chez elle pour les vacances : nous revenions de douze mois entiers aux Antilles avec une priorité donnée à la cuisine créole. Depuis, dès que l’envie d’amandes se fait sentir, je ressors la recette de Danielle, avec une certaine nostalgie puisqu’elle me fait penser indirectement à notre vie en Martinique !